En ce mois de mars dédié à la guinéenne, le Réseau africain pour le genre et le développement en Guinée renforce les mécanismes d’identification des cas de violences basés sur le genre. Des associations féminines tout comme la brigade de l’OPROGEM et des agents des commissariats de Conakry prennent part à l’exercice.
En ligne de mire enseigner aux activistes de défense des droits des victimes, les procédures de recours en cas de violence basée sur le genre. C’est le centre Ado- jeune qui a servi de cadre à cette première activité.
Dépêche : Falilou Diallo